Distractions

Le principe est simple :

• vous créez un compte Gitlab, ScribouGit ou Github
• vous vous connectez sur https://scribouilli.org/
• qui vous demande de vous connecter sur le compte Gitlab, ScribouGit ou Github pour accéder à vos sites
• et soit vous créez votre premier site soit vous sélectionnez le site que vous voulez modifier
• Vous avez alors un site à partir d'une adresse créée de toute pièce sur  Gitlab, ScribouGit ou Github

Et si je récapitule : 

• Le point d'accès pour l'administration du ou des sites est https://scribouilli.org/
• Le site est accessible par un lien indiqué sur la page d'administration exemple : https://connaissances-855d87.gitlab.io/ 
• ou par un nom de domaine si  vous avez lié votre site à un nom de domaine : https://scribouilli.org/aide.html

Conclusion :

Pour un usage rapide et simple c'est un super outil, mais pour mon utilisation personnelle je préfère passer par mes sites Pluxml que je peux convertir en site un statique avec deux petits programes php de ma conception, le résultat se trouve ici --> http://pcloud.geneslay.com/connaissances/

1. Autonomie et recharge
L’autonomie n’est plus un frein majeur : la moyenne des voitures électriques en France atteint 350 km en usage réel, certains modèles allant déjà jusqu’à 600 km. L’Agence Internationale de l’Énergie prévoit une moyenne de 500 km d’ici 2030.
Le réseau français est l’un des plus denses d’Europe avec plus de 177 000 points de recharge publics (soit 5 fois plus que de stations-service), auxquels s’ajoutent la recharge à domicile ou en entreprise, très répandue en zones rurales. Le taux de disponibilité technique des bornes est de 93% et le réseau reste loin de la saturation, même en période estivale.

2. Consommation et empreinte carbone
Une voiture électrique consomme en moyenne 19 kWh/100 km (13 à 15 Kwh pour les citadines), ce qui se traduit par un coût énergétique divisé par trois par rapport au thermique. Et un bilan énergétique 4 à 5 fois meilleur sacahnt q'un litre d'essence équivaut à 9,63 KWh et 1 litre de Gasoil à 10,74 kWh)
Sur l’ensemble de son cycle de vie, son bilan carbone est 2 à 3 fois meilleur qu’un véhicule thermique. En France, où l’électricité est peu carbonée, la réduction atteint 70 à 80%. Le « seuil de rentabilité carbone » est atteint au bout d’environ 40 000 km, soit 4 ans d’usage, alors que la durée de vie d’un véhicule électrique est de 15 à 20 ans.

3. Véhicules hybrides rechargeables : une solution limitée
Souvent présentés comme une alternative, les hybrides rechargeables (PHEV) montrent rapidement leurs limites : lourds, peu utilisés en mode électrique, ils réduisent peu les émissions réelles (25% de moins que le thermique pour les particuliers, mais souvent plus émissifs en entreprise). Les études révèlent un écart énorme entre les émissions affichées et la réalité sur route.

4. Coût d’achat et économies à l’usage
Le prix d’achat reste plus élevé, surtout pour les petites citadines (surcoût d’environ 10 000 €), mais la parité approche pour les segments supérieurs (et est déjà atteinte pour certaines berlines). Les nouveaux modèles, comme la Renault 5 électrique, véhicule électrique le plus vendu en france actuellement, devraient réduire cet écart.
Sur la durée, les véhicules électriques permettent des économies substantielles :

• jusqu’à 1 500 € par an (carburant divisé par 3, entretien -20 à -40%),

• amortissement possible en 3 ans avec les aides,

• et un coût total de possession inférieur aux thermiques pour de nombreux profils.

5. Prix et fiscalité de la recharge
La majorité des recharges se fait à domicile (2 à 3 €/100 km). Le budget annuel moyen pour un conducteur électrique est d’environ 500 €, contre 1 500 € pour un thermique.
Les recharges publiques coûtent entre 20 et 30 €/mois pour un usage classique. Malgré les craintes fiscales, l’électricité est déjà plus taxée que les carburants fossiles au regard de son impact carbone, et la priorité devrait être de soutenir l’électrification plutôt que de la freiner.

6. Durée de vie et fiabilité des batteries
Les batteries durent en moyenne 15 ans et peuvent atteindre 20 ans avec de bonnes pratiques de recharge. Ensuite, elles trouvent une « seconde vie » dans le stockage d’électricité, voire une troisième, avant d’être recyclées.
Les conditions climatiques extrêmes ne sont pas un obstacle majeur, comme le prouve la Norvège (près de 90% des ventes neuves sont électriques). Les systèmes de gestion des batteries (BMS) limitent les effets négatifs du froid ou des fortes chaleurs.

En conclusion, les idées reçues sur l’autonomie, le coût, la recharge ou la durée de vie des batteries ne résistent pas aux faits. Les véhicules électriques offrent déjà :

• une autonomie adaptée aux besoins courants,

• un réseau de recharge solide,

• un bilan carbone nettement meilleur,

• des économies réelles à long terme,

• et une technologie mature, capable de durer.

Ils représentent donc une solution crédible, durable et économiquement avantageuse pour remplacer progressivement le thermique.

Cet article a été créé  à partir de l'article d'ici

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Fiche de culture du millet

Nom latin : Pennisetum miliaceum

Autres dénominations :  mil, millet commun

Exposition :  ensoleillée

Climat :  tous

Période de plantation : fin de printemps

Période de floraison  : été

Conseil du calendrier lunaire : semer en lune montante.

Différentes variétés de millet

• millet commun
• millet à grappes
• millet perle
• millet queue-de-renard
• millet rouge
• millet des oiseaux.

Lire la suite de Millet

Origine et définition

• Millet : C’est un terme générique qui désigne plusieurs espèces de plantes de la famille des Poacées (graminées), cultivées principalement dans les zones sèches d’Afrique et d’Asie. Le mot « millet » est un diminutif de « mil », issu du latin millium. Le millet se caractérise par ses très petites graines et sa grande résistance à la sécheresse et aux sols pauvres. Il existe de nombreuses espèces de millet, comme le millet commun (Panicum miliaceum) ou le millet perle (Pennisetum glaucum), ce dernier étant le plus cultivé en Afriquefr.wikipedia.org+2.
• Mil : En français, « mil » est un nom vernaculaire souvent utilisé comme synonyme de millet, surtout en Afrique. On distingue parfois les « gros mils » (sorghos) des « petits mils » (millets). Le terme « mil » est donc un terme large, qui peut englober plusieurs espèces de graminées cultivées comme céréales secondairesfr.wikipedia.org+1.

Usage et culture

• Millet : Les millets sont des céréales vivrières, souvent consommées sous forme de bouillies, galettes ou farines. Ils sont particulièrement importants pour la sécurité alimentaire dans les régions arides, car ils nécessitent peu d’eau et poussent dans des sols peu fertilesfr.wikipedia.org+2.
• Mil : Le terme « mil » est surtout employé en Afrique pour désigner le millet perle, mais il peut aussi inclure d’autres céréales comme le sorgho. Dans d’autres langues (anglais, espagnol), « mil » et « millet » désignent généralement la même chosefr.wikipedia.org+1.

Confusion historique

• Historiquement, les termes « mil » et « millet » étaient utilisés indifféremment. Avec le temps, « millet » est devenu plus spécifique pour désigner certaines espèces à petites graines, tandis que « mil » reste un terme plus large, parfois utilisé pour le sorgho ou d’autres céréales localesfutura-sciences.com+1.

Résumé des différences

Points clés

• Le millet est une catégorie botanique précise, tandis que « mil » est un terme plus large et vernaculaire.
• Les deux sont des céréales adaptées aux climats secs, mais le millet est plus spécifiquement associé à des espèces à très petites graines.
• En pratique, le millet perle est la variété la plus cultivée et la plus associée au terme « mil » en Afriquefr.wikipedia.org+2.